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Les Cabrinatoriens fidèles s’étonnent de nous voir délaisser notre cible favorite: le blog de la très cultivée Hélène Martin.
Il est vrai que ces derniers temps ses publications étaient insipides, hagiographes à l’extrême.
Nous nous sommes replongés dans une publication plus ancienne intitulée « un air de famille ».
Nous constatons qu'Hélène Martin est très fière de son mari Hervé, que nous admirons aussi beaucoup, et on comprend aisément pourquoi.
Nous connaissons maintenant les ascendances de Martine Guionnet, de Frédéric Morlot, de Quentin Verret.
Nous avons remarqué qu’elle fait référence au grand père de Marian Caors, malheureusement décédé. Mais pourquoi oublier sa pétillante et sympathique grand mère, Hélène. et sa célèbre agence immobilière éponyme de Calas.
De même, il n’est pas fait mention de l’ascendance de Nadia Trainar. Nous avons tous des parents, ce qui est le cas de Nadia, mais son cas est particulier. Il est certain que beaucoup de Cabrinatoriens qui nous lisent seraient fiers d’être le fils ou la fille de l’élégant et très affable Léonardo Kleiner, même s'il n'est pas natif de Cabriès. Mais Hélène Martin ne le mentionne pas. Craindrait-elle un malheureux amalgame que nous pourrions faire avec ses investissements cabriessiens? C'est vrai qu'on lui doit un golf magnifique uniquement construit pour le sport! Il l'avait affirmé. On a, sans doute, du lui forcer la main pour réaliser l'opération de la résidence de vacances pour Odalys…… en bordure du golf et du centre sportif Raymond Martin. Il aime tellement le sport qu'il a même emprunté une partie d'un terrain de foot pour cette résidence. Piafferait-il déjà sur d'autres projets. Nous en parlerons sans doute.
Et c'est bien qu'HF@ souhaite confier à sa fille la délégation de Plan de Campagne. Elle sera en prise directe avec l'économie. "Je suis une guerrière s’est exclamée Nadia en réunion publique.
"Aux armes, nous sommes des cabriessiens et nous allons gagner……"
Voilà bien des bâtisseurs aux dents longues.
Bien beau tout ça, mais ça coupe l'herbe sous les pieds du Bouc.
* avec l'autorisation de Jean-Baptiste Poquelin pour ce détournement qui n'est pas tartuffe.